Code de l’infamie, code populiste, code de la famille

10 juin 2020 Par Moka ASSAM

Enchaîner une femme, la femme algérienne de surcroît, n’est pas possible, à priori. Tuer à petit feu, oui.

Depuis 1984, le code de la famille a été promulguée, exactement le 9 juin, il y’a 36 ans, jour pour jour, te voilà maintenant adulte travestie par l’accoutrement symbolique pour plaire à la bondieuserie des casuistes islamistes.

La femme au service du lobby arabo-moyen-oriental, malgré elle…

Maintenant, il faut le dire, beaucoup de femmes, à force d’être enchaînées par la chappe de plomb légalisée de ce code de l’infamie, se résignent à accepter le sort imposé par le patriarcat ambiant et se mettent à avancer tant bien que mal. Ce n’est peut être pas le syndrome de Stockholm, mais plutôt le syndrome « l’acceptation », tellement les autorités n’ont jamais daigné autoriser une quelconque manifestation pour l’égalité et l’équité homme-femme, car … chhuuuutttt le gage donné aux islamistes ne doit pas être altéré, … chhuuuutttt les couteaux sont déjà aiguisés et prêts à morde.

Le courage de la femme algérienne est sans commune mesure, elle vaincra, on vaincra, par la loi de la future république, réellement démocratique, au service du peuple, sans distinction entre la femme et l’homme.